site appartenant à l'influenceur Defthunder
La Cour de Cassation, saisie par un abonné qui ne recevait pas la télévision, a condamné mi-novembre Free à lui verser 2.500 euros, estimant que les opérateurs avaient "une obligation de résultat" quand ils vendaient des forfaits +triple play+ (internet, téléphonie et télévision).
Le fournisseur d'accès Free avait indiqué que ce problème n'était pas de sa responsabilité, car la "ligne téléphonique et le NRA (noeud de raccordement de l'abonné) dont (ce dernier) dépendait ne permettaient pas techniquement de recevoir la télévision" et que lui-même n'avait "aucun pouvoir sur les équipements du NRA (...) appartenant à la société France Télécom".
Nommé AT-HDAIR, cette solution est composée de deux boîtiers. L’un est USB et se branche à l’ordinateur. L’autre, récupère le signal et le transmet à ses connecteurs HDMI, VGA et minijack. Ces deux accessoires communiquent par ondes radio jusqu'à 10 mètres.
Compatible avec Windows XP, Vista et Seven, ce système est capable de transmettre un signal vidéo en HD-ready 720p. Rappelons que Belkin avait également annoncé une solution similaire en 2008. Le FlyWire, c’était son nom, n’avait pas rencontré l’accueil escompté à cause d’un prix de 600$ et malgré sa diffusion en 1080p.
Altona affiche son AT-HDAIR à 219$.
Le parquet de Milan a requis mercredi de six mois à un de prison contre quatre dirigeants de Google jugés pour complicité de diffamation et atteinte à la vie privée après la diffusion d'une vidéo montrant des brimades contre un adolescent handicapé, selon Google.
"Un an a été requis contre trois dirigeants", a indiqué à l'AFP une porte-parole de Google Italie. Ces trois personnes sont David Drummond, président du conseil d'administration de Google Italie au moment des faits, George De Los Reyes, un membre de ce conseil au moment des faits qui a depuis quitté l'entreprise, et Peter Fleischer, responsable chargé de la protection de la vie privée, a-t-elle précisé.
Six mois ont été en revanche requis contre Arvind Desikan, responsable de projet vidéo au sein de l'entreprise, a-t-elle ajouté.
L'audience se tenait à huis clos dans le tribunal de la ville du nord de l'Italie.
Le verdict devrait être annoncé le 23 décembre, selon cette porte-parole. La peine maximale pour ce type de délit en Italie est de trois ans de
prison.